đ§Nous vivons dans une eau Ă©thĂ©rique, notre corps dâeau.
Câest un ocĂ©an oĂč vivent des pensĂ©es, des envies, des influences qui ne sont pas nĂ©cessairement les nĂŽtres, mais qui vivent et touchent notre eau (aura) et sây fondent. Alors elles se mettent Ă vivre en nous, dĂ©clenchent des dĂ©sirs, des choix, des pensĂ©es qui grandissent et finissent par nous envahir totalement jusquâau jour oĂč elles deviennent paroles et actes.
đ§Aucune pensĂ©e nâest anodine, câest le principe des vases communicants. Habiter son corps signifie ĂȘtre en permanence conscient de ce qui vient vers nous, de ce qui vit en nous, de ce qui nous anime afin de pouvoir Ă©quilibrer et remettre chaque chose Ă sa vĂ©ritable place.
đ§Ne pas habiter son corps en pleine conscience, câest laisser entrer les pensĂ©es des autres, les influences du monde extĂ©rieur.
đ§đ§Â« Le monde aurique est le monde de lâeau. Cette eau est une matiĂšre subtile, invisible, formĂ©e et habitĂ©e par toutes les pensĂ©es, tous les sentiments et dĂ©sirs qui vivent autour de lâhomme et animent son corps de terre, son corps physique. »
Si vous ĂȘtes intĂ©ressĂ©s par lâĂ©popĂ©e de la pensĂ©e vous pouvez commencer par lâarticle Ă©ditĂ© le 2 mars concernant « la pensĂ©e devenue malade ».
Isabelle Métais